Un été Corto : chapitre deux sur France Info


 
Et si on relisait les bandes dessinées de Hugo Pratt cet été? Et pourquoi pas les Fables de venises pour retrouver Corto maltese et ses déambulations?
 

 

Corto Maltese Fable de Venise

 

Où l’on se souvient que Corto Maltese a séduit un Président de la République. Et que son auteur Hugo Pratt dessinait toujours plus vite.

Source : Un été Corto : chapitre deux

 

A réécouter sur France info :

http://www.franceinfo.fr/player/resource/700466-1560264


Archives : La rue Dénoyez


Voilà, c’est la fin de l’aventure. La Mairie de Paris a demandé aux occupants des locaux  précaires de laisser leur place pour que les travaux du  projet d’aménagement de la rue Dénoyez (logements sociaux, creche, etc.) puissent démarrer. La règle du jeu était annoncée depuis le début, depuis l’arrivé à  la Mairie de Paris de Delanoé, qui avait alors permis aux artistes d’occuper les locaux squattés de la rue en échange d’une contribution et de leur engagement de les rendre à la collectivité le moment venu.

 

Certains ont pu manifester de l’humeur, de l’amertume, mais il est difficile de s’insurger contre une crêche et des logements sociaux.

Petites photos d’archive, cherchez en d’autres sur le net, ce n’est pas difficile: rarement lieu collectif aura connu une telle effervescence et aura été tant photographié.

Rue Dénoyez – Juin 2015

 

Rue Dénoyez - La Friche - La fin de la fête - juin 2015

 

 

Rue Dénoyez – Septembre 2011

 

Rue Dénoyez - septembre 2011

Rue Dénoyez - septembre 2011

Rue Dénoyez - septembre 2011

 

 

Rue Dénoyez – Mai 2010

 

Rue Dénoyez - mai 2010

Rue Dénoyez - mai 2010

Rue Dénoyez - mai 2010

Rue Dénoyez - mai 2010

 

Rue Dénoyez – Mai 2005
 

Rue Dénoyez - Laszlo - Mai 2005

Rue Dénoyez - Mai 2005

Rue Dénoyez - Mai 2005

Rue Dénoyez - Mai 2005

Rue Dénoyez - Mai 2005

Rue Dénoyez - Mai 2005

Rue Dénoyez - Mai 2005

Rue Dénoyez - Mai 2005

Rue Dénoyez - Mai 2005

Rue Dénoyez - Mai 2005

Rue Dénoyez - Mai 2005

 

Rue Dénoyez – Juillet 2004
 

Rue Dénoyez - Juillet 2004

Rue Dénoyez - Juillet 2004

Rue Dénoyez - Juillet 2004

Rue Dénoyez - Juillet 2004

Rue Dénoyez - Juillet 2004

Rue Dénoyez - Juillet 2004

Rue Dénoyez – Juillet 2004

 

Rue Dénoyez - Juillet 2004

Rue Dénoyez - Juillet 2004

Pour en savoir plus sur la Rue Dénoyez, vous pouvez lire ce très intéressant article de La Ville des Gens : Deux bars à Belleville

http://www.des-gens.net/Deux-bars-a-Belleville


JE SUIS ENDANGERED HELP ME ! une série de Louis Masaï


L’expo et la résidence qui se tient en ce moment à la gare du Nord (ici) sont une excellente occasion de mieux connaître et apprécier  des artistes comme Louis Masaï.

La série  » JE SUIS ENDANGERED HELP ME  » proposée  Quai 36, avec ses espaces et sa liberté,  son ampleur et sa force méritent vraiment notre attention. Jugez vous-même :

 

Louis Masaï Série " JE SUIS ENDANGERED HELP ME " - Quai 36 Gare du Nord

 

Pour en savoir plus sur le combat de Louis Masaï pour la survie des abeilles, une petite visite sur son site personnel.

Mais les abeilles ne sont pas les seules à pouvoir compter sur son soutien :

 

Louis Masaï Série " JE SUIS ENDANGERED HELP ME " - Quai 36 Gare du Nord

 

Louis Masaï Série " JE SUIS ENDANGERED HELP ME " - Quai 36 Gare du Nord

 

Louis Masaï Série " JE SUIS ENDANGERED HELP ME " - Quai 36 Gare du Nord

 

Louis Masaï Série " JE SUIS ENDANGERED HELP ME " - Quai 36 Gare du Nord

 

Louis Masaï Série " JE SUIS ENDANGERED HELP ME " - Quai 36 Gare du Nord

 

En savoir plus sur Louis Masaï


Lartigue – La Vie en Couleurs à la Mep jusqu’au 23 août 2015


Florette dans la Morgan. Provence, mai 1954  Sylvana Empain. Juan-les-Pins, août 1961.

Florette. Vence, mai 1954.   Florette à la plage du Carlton. Cannes, juillet 1956.  Les mains de Florette Brie le Néflier, juin 1961  Ascoli Piceno, 1958.

 

Je ne résiste pas à la tentation de  publier ici le communiqué de presse qui accompagne cette exposition de Lartigue à la Maison Européenne de la Photographie. Ce photographe a cet étrange pouvoir de vous rendre heureux. Et la décision de s’attarder sur ces photos couleur, la part a priori la moins connue de son oeuvre, se révèle un choix très judicieux. En ces temps troublés, un peu d’élégance colorée nous fera à tous le plus grand bien.

 

Extrait du communiqué de presse:

« L’exposition “Lartigue, la vie en couleurs“, présentée à la Maison Européenne de la Photographie du 24 juin au 23 août 2015, dévoile un pan inédit de son œuvre. Bien que la couleur représente plus d’un tiers de la totalité de ses clichés, celle-ci n’a jamais été montrée ou exposée en tant que telle. Il s’agit d’une réelle découverte pour le public, non seulement parce que les photos présentées le sont pour la première fois ou presque mais aussi parce qu’elles révèlent un Lartigue inconnu et surprenant.

Lartigue a pratiqué la couleur à deux périodes de sa vie.

De 1912 à 1927 : Les autochromes

Ils sont rares et précieux. Une trentaine sur les 87 conservés à la Donation Lartigue sont montrés dans l’exposition.
Avec l’enthousiasme de la jeunesse (il a 18 ans) et une fascination pour les “nouvelles technologies”, Lartigue expérimente le procédé autochrome, technique récemment commercialisée par les frères Lumière. Les plaques de verre de format 6×13, stéréoscopiques qu’il utilise permettent de voir en relief et supposent des perspectives choisies. La couleur, le mouvement et le relief sont autant de manières d’attraper l’insaisissable et la vie. Cependant la lourdeur de l’équipement et la lenteur du temps de pose l’amènent à délaisser cette technique et donc la couleur.

À partir de 1949 : le film couleur

Après vingt ans de photographie en noir et blanc, Lartigue s’intéresse de nouveau à la couleur. Avec son Rolleiflex, il privilégie le format carré jusque dans les années soixante-dix tout en pratiquant avec son Leica le format 24×36.
Toujours fidèle à lui-même, il continue à documenter sa vie, à enregistrer les moments qui lui sont chers : “Je suis empailleur des choses que la vie m’offre en passant“ (journal manuscrit, Paris, 1968). Par exemple, heureux avec sa jeune épouse Florette, il photographie Florette. Ses photographies sont si bien composées qu’on pourrait les croire mises en scène ou retouchées, en un mot fabriquées alors qu’elles sont toujours le fruit de la spontanéité et le miroir des plaisirs qu’il prend dans la vie. Pour ce photographe instinctif, la couleur célèbre la joie, la sensualité et se prête, mieux que tout, à la célébration du printemps, des saisons, du ciel et de la beauté sous toutes ses formes sensibles.

Qu’il ait été jeune ou âgé, Lartigue a toujours eu l’esprit juvénile. Rares sont ceux qui conservent leur vie durant une fraîcheur enfantine, une curiosité et un émerveillement comparables. “Lartigue n’a pas vieilli d’une heure depuis sa première photo” écrit René Barjavel en avril 1972. Est-ce cela qui explique la modernité évidente de ses photographies ? Une modernité – faut-il le préciser – que la couleur exacerbe au point de lui donner une sensibilité quasi contemporaine. Preuve supplémentaire, si elles datent bien des années 1950 ou 1960, ses images ne sont jamais nostalgiques pour autant. Leur énergie n’est pas celle du passé et Lartigue est définitivement une créature du futur. »

Les photos retenues l’ont été à partir  «  des choix de Lartigue lui-même. Les albums qu’il a réalisés au fil des ans, permettent d’en garder la trace. Quelques pages seront d’ailleurs exposées.

Comme il n’existe pas de tirages couleurs de l’époque, excepté ceux que Lartigue a collés dans ses albums, les épreuves de l’exposition sont des tirages pigmentaires faits à partir des positifs originaux. »

Exposition jusqu’au 23 août 2015

 

Maison Européenne de la Photographie
5/7 rue de Fourcy, 75004 Paris
01 44 78 75 00 – www.mep-fr.org
M° Saint-Paul (ligne 1) ou Pont-Marie (ligne 7)
Ouvert du mercredi au dimanche de 11h à 20h
Accès à la billetterie jusqu’à 19h30
Fermé lundi, mardi et jours fériés
Entrée gratuite le mercredi de 17h à 20h