Tous les deux ans, parmi les nouveaux venus qui collent sur nos murs, un artiste retient notre attention. On se dit : « Ah tiens, quelle bonne surprise ».
Et bien avec David Gouny, qui signait aussi DVG sur ses affiches, on s’est dit « Ah tiens, comme c’est bien! ». Vous les avez certainement remarquées, ces grosses dames, naïves, aux poses langoureuses, parfois provocantes, mais avec tant de naturel qu’il serait vain d’y chercher une once de perversité (quoique… hu, hu, hu…!)
Au début, je donnais les adresses des murs sur lesquels on pouvait retrouver ces petites merveilles… J’ai du me cantonner au secret défense: des petits malins, ave une décolleuse à papier peint, passaient aussitôt pour se constituer à peu de frais une collection volée. Remarques bien que c’est un signe qui ne trompe pas : su david Gouny n’avait aucun talent, on ne décollerait pas ses oeuvres.
Ces trois petites affiches sont (très librement mais très fidèlement tout de même…) inspirées d’oeuvres célèbres : un portrait, une scène de cinéma, une photo fashion… Vous trouvez?
Les photos de l’accident. C’est bien, hein? Et avec le potelet bien placé, c’est encore mieux.
Normal, les photos sont de David himself. Super!
Allez, encore quelques unes pour le plaisir…