La rue reste malgré tout le lieu privilégié pour le street art, comme aurait dit monsieur de la Palisse. Je ne critique pas les galeries ni les institutions qui découvrent et s’approprient cette discipline artistique et je ne suis pas le dernier à me rejouir de cette reconnaissance. Mais la découverte d’un pochoir, d’un graffiti ou d’une affiche au coin d’une rue reste un moment d’émotion sans pareil, comme si cette intrusion inopinée dans l’univers urbain renforçait la force de l’oeuvre.
Street Art = Art de rue
Paris 4ème, un graff d’une grande force expressive. #streetart
