Quand Philippe Hérard pose une peinture sur un mur, il y impose une forme subtile de silence, de stupéfaction qui force le passant à s’arrêter et à partager l’effroi, l’étonnement, la stupeur du personnage peint et l’associe à sa quête.
Et vous, que penseriez-vous en vous réveillant, de voir des gens au pied de votre lit, et même des vélos? Et plus généralement, que pensons-nous en nous réveillant de nous retrouver dans ce monde là? J’ai nommé cet affichage « Un réveil difficile ». Et vous?
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