Après 2004
et 2006, Nemo revient rue
du Renard pour nous convier à une petite descente
entre les pylônes.
Qu'est-ce qui fait
que j'aime bien ce pocheur là?
Sans doute pour les mêmes excellentes raisons
que celles données par Daniel Pennac dans son "Nemo"
:
une invitation à pénétrer dans un univers
"à côté"
du nôtre, plus fraternel, plus naïf mais ô combien
plus intéressant,
où personne n'arnaque personne,
où les chats et les oiseaux sont comme chez eux et où
la petite valise
invite à ne pas s'installer.